Les années passant, les cheveux commencent parfois à tomber, à se raréfier. Si les hommes sont les principales victimes de l’alopécie, les femmes ne sont pas toujours épargnées. Mais à quoi est due cette perte de cheveux ? Comment la reconnaître ? Notre partenaire en biométrologie cutanée, DERMATEC by CPPi vous dit tout et vous propose de participer à une étude indemnisée au mois de décembre 2019.
Qu’est-ce que l’alopécie ?
Un peu d’étymologie : « alopécie » vient du grec « alôpex » signifiant « renard ». Quel rapport avec la chute des cheveux ? L’alopécie renvoie tout simplement à la perte des poils que l’animal subit chaque début de printemps. Terme médical désignant la perte de cheveux, l’alopécie touche principalement les hommes. Mais les femmes ne sont pas toutes préservées. Plus les cheveux tombent, parfois sans repousser, plus la peau devient visible.
La forme la plus courante d’alopécie
La forme la plus répandue d’alopécie est l’alopécie androgénétique, plus couramment appelée calvitie. Un tiers des hommes de 30 ans est atteint de cette forme de calvitie, 50% des hommes de 50 ans et 80% des hommes de 70 ans. Mais la calvitie peut parfois débuter à l’adolescence.
Chez les hommes, l’alopécie est caractérisée par le recul de la lisière des cheveux, en haut du front. Elle peut également débuter au sommet du crâne.
Hommes et femmes ne sont pas égaux lorsqu’il s’agit d’alopécie. En effet, les femmes de 30 ans sont « seulement » 2 à 5% à en souffrir. A 70 ans, elles sont près de 40%. L’alopécie féminine est caractérisée par une chevelure plus clairsemée sur le haut du crâne. Il semblerait que la perte de cheveux s’accentue chez les femmes avec la ménopause, un lien de cause à effet non démontré à ce jour par les études épidémiologiques.
Ce type de calvitie a comme cause première l’hérédité. Chez les hommes, elle est liée aux androgènes, les hormones sexuelles mâles telles que la testostérone. Pour faire simple, cette même testostérone rend les cheveux plus fins et plus courts plus rapidement. Progressivement mais rapidement, les follicules pileux s’amenuisent et se désactivent.
Chez la femme, les causes de l’alopécie sont plus incertaines. L’hérédité semble être la principale mais un taux d’androgènes élevé peut aussi en être le point de départ.
On relève également d’autres formes d’alopécies comme l’alopécie cicatricielle, la pelade, l’alopécie congénitale ou encore l’effluvium télogène. La perte de cheveux peut enfin être la conséquence d’une prise de médicaments, d’une chimiothérapie…
Consulter pour diagnostiquer une alopécie
Certains signes doivent vous alerter sur une possible alopécie. Ainsi, si vos cheveux tombent par poignées ou par plaques sans explication ou si votre calvitie vous handicape/gêne au quotidien, vous pouvez consulter votre médecin qui saura vous orienter vers les bons spécialistes. Il existe également des traitements capillaires qui permettent de ralentir la chute de cheveux voire d’en venir à bout.
Mais pas de panique, dans de nombreux cas, la perte de cheveux est temporaire. On parle alors d’effluvium télogène. Les cheveux tombent de manière ponctuelle suite à un stress, une fatigue passagère, un choc émotionnel… Mais avec un peu de patience, les cheveux qui ont chuté repoussent plus ou moins rapidement via le follicule pileux.
Participez à une étude indemnisée sur l’alopécie
Vous présentez une alopécie légère à modérée ? Notre partenaire DERMATEC vous propose de participer à une étude indemnisée dans ses locaux. D’une durée de 3 à 6 mois, cette étude concerne les hommes et les femmes âgés de 18 à 60 ans présentant une alopécie de stade 1 à 3. Gagnez jusqu’à 200€ en testant l’efficacité d’un traitement dès début décembre 2019.
Contactez DERMATEC à recrutement@dermatec-lyon.com
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